
De l’être humain au monstre il n’y a parfois qu’un pas. Philippe Malone nous donne à voir l’escalade tranquille mais irrémédiable du pouvoir d’une mère et d’un père sur leur enfant.
De Philippe Malone
Collectif7
• Texte de Philippe Malone Sweetie, publié aux éditions Espaces 34
• Farce politique dès 14 ans
« Sweetie » : ma puce, mon chou, ma chérie, mon chéri, mon ange, mon trésor en anglais.
Qui est cette Sweetie ? Sweetie est multiple. Nous sommes dans l’antre d’une famille. La mère ou le père s’adresse à son enfant et le ou la met en garde des dangers alentours, des mauvaises fréquentations, du voisinage.
Le parent doit protéger son enfant coûte que coûte. Il s’agit de sa responsabilité. Mais quelles sont les limites ? Et y en a-t-il ?
De l’être humain au monstre il n’y a parfois qu’un pas. Philippe Malone nous donne à voir l’escalade tranquille mais irrémédiable du pouvoir d’une mère et d’un père sur leur enfant. Ou… d’un Roi et d’une Reine sur leur peuple.
Peur incontrôlée, éducation perverse, affirmations absurdes, paranoïa, force de persuasion et le TRèS mauvais tour est joué. Nous sommes en dictature. Un discours poussé à son paroxysme pour dénoncer de manière farcesque les ravages d’une pensée abusive qui nie l’autre. Et si tout commençait non par du formatage mais par l’apprentissage du sens critique ?
Mise en scène Muriel Coadou | Texte Philippe Malone | Collaboration artistique Gilles Chabrier | Jeu Nathalie Ortega, Fabien Grenon, Nicolas Hadot | Scénographie Anabel Strehaiano | Son Nicolas Hadot | Lumières Mélanie Wojylac, Agnès Envain | Coiffure Pascal Jehan | Costumes Adélie Antonin | Production S. Ageron
Coproductions : Théâtre des Pénitents, Le Centre Culturel de La Ricamarie
Collectif7
• Texte de Philippe Malone Sweetie, publié aux éditions Espaces 34
• Farce politique dès 14 ans
« Sweetie » : ma puce, mon chou, ma chérie, mon chéri, mon ange, mon trésor en anglais.
Qui est cette Sweetie ? Sweetie est multiple. Nous sommes dans l’antre d’une famille. La mère ou le père s’adresse à son enfant et le ou la met en garde des dangers alentours, des mauvaises fréquentations, du voisinage.
Le parent doit protéger son enfant coûte que coûte. Il s’agit de sa responsabilité. Mais quelles sont les limites ? Et y en a-t-il ?
De l’être humain au monstre il n’y a parfois qu’un pas. Philippe Malone nous donne à voir l’escalade tranquille mais irrémédiable du pouvoir d’une mère et d’un père sur leur enfant. Ou… d’un Roi et d’une Reine sur leur peuple.
Peur incontrôlée, éducation perverse, affirmations absurdes, paranoïa, force de persuasion et le TRèS mauvais tour est joué. Nous sommes en dictature. Un discours poussé à son paroxysme pour dénoncer de manière farcesque les ravages d’une pensée abusive qui nie l’autre. Et si tout commençait non par du formatage mais par l’apprentissage du sens critique ?
Mise en scène Muriel Coadou | Texte Philippe Malone | Collaboration artistique Gilles Chabrier | Jeu Nathalie Ortega, Fabien Grenon, Nicolas Hadot | Scénographie Anabel Strehaiano | Son Nicolas Hadot | Lumières Mélanie Wojylac, Agnès Envain | Coiffure Pascal Jehan | Costumes Adélie Antonin | Production S. Ageron
Coproductions : Théâtre des Pénitents, Le Centre Culturel de La Ricamarie
Accessibilité
Accessibilité
Accessible en fauteuil roulant avec aide
Tarifs
Tarifs
Du 18 décembre 2025 au 19 décembre 2025
Du 18 décembre 2025 au 19 décembre 2025
Plein tarif
À partir de 13,00 €
Tarif réduit
À partir de 9,00 €
Enfant- de 12 ans
6,00 €
Moyens de paiement
Moyens de paiement
Moyens de paiement
Carte bancaire/crédit
Espèces
Paiement en ligneHoraires
Horaires
Du 18 décembre 2025 au 19 décembre 2025
Du 18 décembre 2025 au 19 décembre 2025
Jeudi
20:00 - 22:30
Vendredi
20:00 - 22:30
Localisation
Localisation
Langues parlées
Langues parlées
Accès
Accès
- Bus : n°11 Direction Montplaisir, arrêt Richelandière ou n°3 Direction Terrenoire, arrêt Saint-François.
Tram : Arrêt Fourneyron
Sortie autoroute Beaulieu/Montplaisir. Prendre en face le boulevard Normandie Niemen. Au premier rond-point, prendre à gauche, puis la première à droite, rue de la Richelandière.

